Cet étude s’est proposée de réaliser une analyse sur une problématique actuelle de politique internationale: le retour de la Russie sur la scéne internationale et la re-découverte de l’Asie Centrale ex-soviétique qui est devenue au début du XXI-ième siècle l’enjeu des rivalités de pouvoirs dans l’espace éurasiatique.
La méthode utilisée pour l’investigation d’une « tranche de ce Nouveau Jeu Éuro-asiatique » a été de nature géopolitique par l’appel aux concepts de la géopolitique classique sans omettre les notions de géoéconomie qui, selon Edward Lutwak, aspire à la substitution de la géopolitique.
La théorie de la géopolitique affirme l’idée de la conflictualité inévitable qui caractérise les rapports inter-étatiques car les états varient en puissance et en but de la maximaliser, ils ont besoin des territoires économiques et stratégiques de grande valeur”. C’est pourquoi, à présent où la confrontation pour des ressources énergétiques est devenue très forte, la géopolitique représente une méthode analytique très utile pour comprendre les comportements des acteurs politiques.
Du point de vue structural, la construction de l’étude a envisagé 2 parties.
La première partie a mis en oeuvre la nouvelle identité géopolitique de la Russie postsoviétique et la manière dont elle a évolué à partir de la période Elţân jusqu’à présent.
Secundo, cette étude s’est focalisée sur le comportement géostratégique de la Russie concernant les républiques ex-soviétiques de l’Asie Centrale dont l’importance stratégique et énergétique les situent au sein du « néo-impérialisme énergétique russe » au début du XXI-ième siècle.
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